Voici un extrait d'un poème de Desrois publié en 1801.

Le triangle rectangle et son hypothénuse
Ont des propriétés que pas un ne récuse;
La perpendiculaire allant à l'angle droit
De nous les démonter aura bientôt le droit.
En deux extrêmes parts coupant l'hypothénuse
C'est un terme moyen dont au besoin l'on use.
Les deux côtés de plus sont moyens en tout temps
Entre l'hypothénuse et chacun des segments.
Les cordes ont reçu le don non équivoque
De se couper toujours en raison réciproque.
Sécantes qui font angle en tout point mitoyen,
Font chacune un extrême et chacune un moyen,
Ou réciproques sont aux parts extérieures.
Les plus claires raisons sont toujours les meilleures.

Saurez-vous illustrer ce poème d'une figure et le traduire en prose (ou en vers) dans le langage mathématique d'aujourd'hui ?

Bientôt ici votre solution si vous nous l'adressez.

Référence

Desrois : La Géométrie en vers techniques (1801).